Page blanche

Ô Muse, j’ai frappé, mais ta porte était close ...

Ma plume se fait lasse et mon cœur si tremblant,

Qu’il est désormais sourd au doux chant de la rose,

Au charme d’un soupir, à la couleur du temps…

La page reste blanche à mon grand désespoir,

Et je demeure là, immobile voyage,

Cherchant à deviner en ce profond miroir,

A m'en pouvoir damner, l’écho de ton Visage ...

AG

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Comments

[hanternoz]

Bonsoir Alain
Cette poèsie est somptueuse et plait tant à l'esprit qu'à l'âme.
Amitié

[ag86]

Merci à toi. Excuse le retard, j'ai été quelque peu absent de chez moi ces temps-ci.
Amitiés

[sarang]

C'est un peu l'attitude que j'ai en ce moment.
MA plume ne chante guère sur la page stérile mais se garde en moi...et je l'entends...mais je n'arrive pas à coucher sa mélodie.

[ag86]

Tu me rassures !
Amitiés

[Renée]

Très joli poème, merci du partage.
belle et douce journée

[mélancolie]

Merci, Alain,
Oui, fêtons, en cette amitié québéco-poitevine, avec plaisir !!
à bientôt !
Marie

[ag86]

C'est un plaisir également de ce côté de l'Atlantique !
Amitiés

[Tony Yves]

Bonsoir
Cette page blanche n'est pas restée vierge de beaux mots

[ag86]

Merci beaucoup. Bon lundi !